Depuis que l’ONU a été saisie par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) du dossier nucléaire iranien, les sanctions adoptées le 24 mars 2007 contre Téhéran représentent le quatrième acte du long bras de fer qui oppose la République islamique au Conseil de sécurité (CS). La présente Note, qui résume brièvement cette relation tourmentée ainsi que le contenu des mesures restrictives adoptées, souligne le fait que l’efficacité des sanctions dépend aussi des possibilités de dialogue qui les accompagnent et de la volonté de trouver un compromis.