Profitant des failles des législations nationales et régionales en matière de commerce et de courtage des armes, il est parvenu depuis la fin de la Guerre froide à échapper à toute poursuite judiciaire, jusqu’à ce que la DEA (service américain de lutte contre le narcotrafic) parvienne à lui tendre un piège. Des agents se firent passer pour des membres des FARC colombiennes. Ils négocièrent avec Viktor Bout l’achat d’un arsenal d’armes destiné à combattre les troupes américaines en Colombie.