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| Les États disposeront de quatre semaines pour négocier un texte qui vise à réglementer au niveau international les transferts d’armes et de munitions entre États et concrétiser ainsi un processus historique entamé il y a 6 ans sous l’impulsion de quelques États et de la société civile. Quatre semaines pour surmonter des divergences (inconciliables ou négociables mais alors à quel prix ?), et ce dans un contexte marqué depuis plus d’un an par des crises et conflits armés, alimentés par des ventes d’armes souvent irresponsables. Le défi s’annonce de taille pour les négociateurs. ...Lire la suite. Contact : Virginie Moreau (courriel : v.moreau@grip.org ; tél : +32 2 240 11 06) Cédric Poitevin (courriel : c.poitevin@grip.org ; tél : +32 2 240 11 50) | |
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L’Office des Nations Unies sur la drogue et le crime (UNODC) a publié, fin juin, son rapport annuel sur l’évolution de la production, du trafic et de la consommation des drogues illicites dans le monde, le World Drug Report 2012. Concernant l’Afrique, notons tout d’abord une augmentation continue de la consommation de drogue, puisque le taux de prévalence africain, bien que largement inférieur à ceux d’Amérique du Nord et d’Océanie, rejoint maintenant celui de l’Europe. En particulier, la cocaïne, qui – il y a quelques années – ne faisait que transiter par l’Afrique de l’Ouest, y est maintenant de plus en plus consommée. Les pays les plus touchés seraient le Nigeria (toutes drogues), l’Afrique du Sud (cocaïne et amphétamines), le Kenya (héroïne et opiacés), la Zambie et Madagascar (cannabis). ...Lire la suite. |
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Au cours de la dernière décennie, le trafic de cocaïne s’est imposé comme une activité illicite majeure en Afrique de l’Ouest. Son potentiel déstabilisateur a été illustré récemment par les évènements du Mali et de Guinée-Bissau. Cet impact est dû à l’implication de hauts gradés des forces de sécurité, de représentants des élites dirigeantes, de groupes armés, à visée politique ou purement criminelle. Tous ces acteurs sont connectés, directement ou indirectement, à une armada de trafiquants « professionnels » camouflés en opérateurs économiques.BR> Après être arrivée, par air ou par mer, d’Amérique du Sud, la plus grosse partie de la cocaïne quitte rapidement l’Afrique de l’Ouest pour l’Europe, où le nombre d’usagers de cette substance est en hausse continue. Afin d’esquiver les contrôles, les trafiquants ne cessent de varier leurs itinéraires et méthodes de transport. Longtemps le « privilège » des États côtiers, ... Lire la suite. |
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