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Acquisitions d’armes par les acteurs non étatiques
Pour une régulation plus stricte ?

par Linda Farhat, chercheure-stagiaire au GRIP
et Jihan Seniora, chercheure au GRIP

Le 4 novembre 2011

Comme le cas libyen l’a récemment rappelé, les risques liés à l’acquisition d’armes par des acteurs non étatiques sont bien réels et peuvent avoir des impacts négatifs, en termes de prolifération, sur le court et le long termes tant au niveau d’un pays qu’au niveau régional. De plus, les acquisitions en armes et en munitions ont un impact déterminant sur la nature et l’intensité d’un conflit ainsi que sur le contexte post-conflit. Prolifération des armes aux mains des civils, détournements vers des acteurs non souhaités, violations des droits humains : la problématique des acteurs non étatiques doit amener les États à considérer leur relation avec ceux-ci avec une grande prudence. Ceci est d’autant plus vrai que l’État reste le principal fournisseur en armes pour ce type d’acteurs, qu’il le veuille ou non.

Mots clés : Acteurs non étatiques, États, ALPC, exportation, transfert, marché noir, gestion des stocks, Libye.

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