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| « Les millions de personnes qui souffrent chaque jour des dégradations de la pauvreté et de la faim ont le droit d’être impatients. » Cette affirmation, paradoxalement énoncée par George W. Bush, résume fort bien les causes profondes et la nature complexe des récents virages à gauche.
Qualifiés de gauchistes (un peu ou beaucoup), de centristes, de populistes ou à tendance autoritaire, les nouveaux gouvernements élus au Venezuela, au Chili, en Argentine, en Bolivie, au Brésil... suscitent pourtant les mêmes attentes.
Seront-ils en mesure d’enrayer durablement la misère et les inégalités si profondément ancrées dans ce sous-continent ? Ne risque-t-on pas, dans certains pays, de voir resurgir les militaires de leurs casernes ? L’avenir de l’Amérique latine ne se joue-t-il pas aussi dans sa capacité à résister à l’asservissement de son agriculture et à la destruction de sa biodiversité pour les besoins du marché mondial ? | |
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